L’objectif principal du projet DIGITALIS est de fournir aux aidants informels les compétences et connaissances numériques de base pour exploiter pleinement le potentiel des services et technologies numériques de santé afin d’améliorer leur statut professionnel, ainsi que la qualité de vie et la sécurité des personnes dont ils s’occupent.
Le projet est mis en œuvre par 5 organisations partenaires de 3 pays européens : Grèce (Epioni et Prolepsis Institute), Italie, Hongrie. Résultats : Les partenaires du projet Digitalis ont mené une enquête pour évaluer les besoins numériques des aidants informels dans les pays partenaires.
L’enquête a été mise en œuvre pour évaluer les besoins numériques afin de comprendre les niveaux de compétence numérique, les appareils et les applications (outils web) utilisés, la fréquence d’utilisation de la technologie, la communication, la création de contenu et la sensibilisation à la sécurité numérique.
Cinquante-six personnes de Grèce et de Hongrie ont participé à cette phase de recherche et ont rempli le questionnaire. Dans les deux pays, plus de 41 % des personnes interrogées ont estimé que leurs compétences numériques étaient avancées, tandis qu’un tiers de la population a estimé que ses compétences numériques étaient modérées et que moins de 10 % se considéraient comme ayant de faibles compétences numériques.
Certains des résultats les plus intéressants de l’enquête Digitalis sont présentés ci-dessous :
La majorité des participants sont des femmes. La plupart des participants n’ont jamais suivi de formation numérique.
La majorité des participants ont une bonne connaissance des compétences numériques et ont utilisé plusieurs appareils.
L’appareil technologique le plus utilisé est le smartphone, mais la plupart des aidants n’utilisent pas la technologie pour rester en contact avec la personne dont ils s’occupent.
En outre, en Grèce, le dispositif technologique le plus souvent utilisé par les aidants est le smartphone, mais il est intéressant de noter que la plupart des aidants n’utilisent pas la technologie pour rester en contact avec la personne dont ils s’occupent, préférant les visites personnelles, alors que la majorité d’entre eux vivent avec elle.
En Hongrie, les aidants informels ont des connaissances de base en matière de gestion des techniques numériques et en utilisant certaines parties, par exemple les médias sociaux, mais pas nécessairement pour fournir des soins résidentiels.
Pour plus d’informations (2021-1-IT02-KA220-ADU-000033535), visitez le site web du projet http://www.digitalis-project.eu/.